Sieck, un jour de brume printanière où l’on ne sait plus très bien où se situe l’horizon. 13 h, marée basse, la brume exhale son souffle un peu frais.
La traversée se fait tranquillement à pied à marée basse, trois cents mètre d’exode sur le sable fin.
Sitôt sur l’île, on perçoit le soleil qui perce, on sent la chaleur entre les pierres. Le petit peuple insulaire nous offre Continuer la lecture de Fantômes de Sieck