Les charmes de la plage en hiver.
(photo d’archives : la plage de Beg-Meil en hiver 2011)
Souvenirs de labo, lumière jaune-vert, montée de l’image dans le révélateur, odeurs chimiques, beaux papiers nuancés et veloutés, gris fignolés…
La photographie noir et blanc, c’est beau, c’est fort, c’est à mon avis plus réaliste, dans le sens où l’évacuation de la couleur concentre le regard du spectateur sur la scène, sur les gens qu’on y voit, sur les gestes, les regards… C’est particulièrement vrai en photographie de reportage. Ce qui nous mène un peu loin de mes photos de vase…
Mais la photographie noir et blanc a-t-elle encore un sens ? C’est une autre question…
Revenons à la vase, agrandissez les images, voyez comme elle est peuplée.
Et si comme moi vous aimez la vase, lisez sur ce blog mon article «Éloge de la vase »
Voici deux interprétations d’une même « photographie ». En réalité, je prends plusieurs photographies de la même scène, que j’assemble ensuite pour reconstituer une image plus complète, plus réaliste à mon sens, qu’une simple vue cadrée.
Parfois, l’assemblage peut prendre différentes tournures. Parfois, l’absence d’assemblage me paraît plus expressif, ou en tout cas exprimer autre chose.
Si le sujet vous intéresse, lisez donc sur ce blog l’article « Des morceaux morcelés« , qui vous invitera à visiter d’autres pages encore.
Bonne année !
Pour ce lundi de passage d’une année à l’autre,
ce lundi de post-fin du monde,
voici un petit amusement visuel
qui parle du temps qui passe…