J’aime le contraste entre la tonicité de la plage et la douceur infinie de la dune. Il y a forcément une plage tonique à la source de la dune, sinon il n’aurait pas de dune.
Pendant des kilomètres, le promeneur peut choisir : un coup la tiédeur, les orpins, les jolis escargots, les parfums miellés ; un coup l’immensité, les turquoises, le vent, les odeurs fortes.