Je ne suis pas un grand spécialiste de pêche à pied. Cette activité exige une organisation que je n’ai pas : bottes, voire cuissardes, panier, croc, couteau et autres haveneaux. Mais j’ai tout de même ça dans le sang. Un coefficient de 97, ce n’est pas exceptionnel, mais par un si joli dimanche de février, ça me démange.
Plus que le butin, c’est le spectacle qui m’intéresse. Quoique… On pense toujours au homard coincé dans un rocher, sur lequel on serait le premier à tomber…
Je suis donc parti, léger et court vêtu, Continuer la lecture de Petite grande marée : une coque, une palourde, une poignée de bigorneaux